Sarah Bosquet
Journaliste membre du collectif Hors Cadre, elle s’intéresse à l’actualité carcérale, à la dépollution des friches industrielles ou à l’accompagnement des victimes de violences sexistes et sexuelles. Dans nos pages, elle signe l’enquête sur le burn out dans les associations féministes.
©ARCHIVE PERSONNELLE
Journaliste membre du collectif Hors Cadre, elle s’intéresse à l’actualité carcérale, à la dépollution des friches industrielles ou à l’accompagnement des victimes de violences sexistes et sexuelles. Dans nos pages, elle signe l’enquête sur le burn out dans les associations féministes.

Ses articles

 

Enseignantes et mères d’élèves de la petite école rurale Charles-Perrault de Noyal-sur-Brutz, dans le nord de la Loire-Atlantique, manifestent contre la fermeture prévue d’une classe devant la direction des services départementaux de l’Éducation nationale. Cette fermeture sera finalement annulée, pour la troisième année consécutive. Crédit : Maylis Rolland pour La Déferlante.
Reportage
Éducation Enfants Lutte

Mon école va craquer

Au gré des réformes suc­ces­sives, les enseignant·es de mater­nelle et d’élémentaire voient leurs mis­sions se démul­ti­pli­er et leur charge de tra­vail s’alourdir. Dans ce secteur hyper­fémin­isé, la souf­france s’accroît en rai­son de l’insuffisance des moyens déployés par l’Éducation nationale. Reportage dans la région de Nantes, où les alertes et les luttes des per­son­nels des écoles et des par­ents d’élèves se sont mul­ti­pliées ces dernières années.
Crédit photo : Archives Charmet / Bridgeman Images
Focus

Quand l’habit fait le genre

Depuis des siè­cles, les vête­ments entra­vent, con­traig­nent et exposent le corps des femmes. Mais ils ser­vent aus­si à les dis­tinguer des corps mas­culins. Si les car­cans sont une réal­ité, l’histoire de la mode mon­tre aus­si des nuances, des espaces de luttes et de vic­toires fémin­istes.
Des rassemblements en soutien à Gisele Pélicot et à toutes les victimes de violences sexuelles se sont tenus le week-end dernier dans toute la France. Ici à Paris, le 14 septembre 2024. Crédit photo : Estelle Ruiz/Hans Lucas.
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Procès des viols « de Mazan » : « Il faut résister à l’héroïsation des victimes »

Depuis le 2 sep­tem­bre, 51 hommes com­para­is­sent devant la cour crim­inelle du Vau­cluse, accusés de vio­ls aggravés sur Gisèle Péli­cot. Applaudie dans les couloirs du tri­bunal, soutenue dans des tri­bunes et acclamée dans des man­i­fes­ta­tions, cette dernière est dev­enue en quelques semaines une icône de la lutte con­tre le viol. Dans cette newslet­ter, Valérie Rey-Robert, mil­i­tante con­tre les vio­lences sex­uelles et autrice d’Une cul­ture du viol à la française (Lib­er­talia, 2020), appelle à la pru­dence : elle rap­pelle que si les mon­stres n’existent pas, les héroïnes non plus…
Conclusion du débat par Aminata Dango. Elle est présidence et co fondatrice de l'association crée en 2018. Elle travaille plus de 40h par semaine pour l'association. Petite elle a connu de grosses difficultés avec sa famille, ils ont beaucoup été aidés par des associations c'est pour cette raison qu'elle a décidé de s'engager. "Si demain on arrête je ne sais pas ce que ces femmes vont devenir. La CAF, les CCAS orientent des femmes vers nous." "Il nous faut des salariés mais malheureusement on manque de moyens."- Journée internationale contre les mutilations génitales féminines organisée par l'association Djamma Djigui, le 10 février 2024, Noisiel
Reportage

Les associations féministes en burn-out

Mail­lon essen­tiel de la lutte con­tre les vio­lences sex­istes et sex­uelles, les asso­ci­a­tions fémin­istes croulent sous les deman­des de vic­times. Dans le même temps, les finance­ments man­quent cru­elle­ment. Résul­tat : les bénév­oles et les salariées de ces struc­tures sont en grande souf­france. Et les vic­times ne béné­fi­cient pas tou­jours de l’aide dont elles ont besoin.

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